|
Endettée et sans travail après une grave maladie, cette mère risquait l’expulsion.
Aujourd’hui, elle a repris pied. |
Frais médicaux non remboursés, aides sociales qui n’arrivent pas, loyers en retard... En région parisienne, beaucoup sont au bord du gouffre et risquent de perdre le peu qu’ils ont. En leur versant une aide immédiate, nous les empêchons de basculer.
Ses indemnités tardent, Jean-Michel ne sait plus quoi faire
L’entreprise de Jean-Michel a fait faillite et lui doit trois mois de salaire. Son dossier chômage n’est pas encore validé et il ne perçoit rien. Pour élever ses trois enfants âgés de 5 à 9 ans, le couple ne dispose plus que des allocations familiales, soit 463 € par mois. N’arrivant plus à payer le loyer, les charges et la cantine scolaire, Jean-Michel est prêt à prendre n’importe quel travail, mais il ne trouve rien. Désespéré, il parle de sa situation à la paroisse, qui nous transmet un dossier. Il lui faudrait 3 000 €, le temps de débloquer son allocation chômage.
Ben, ancien sans abri, est marqué dans sa chair
Après cinq ans d’errance, il a trouvé un hébergement à Valgiros, géré par Aux Captifs, la Libération. Bien qu’âgé de 47 ans seulement, il n’a plus de dents. Il a du mal à s’alimenter et à affronter les regards dans la rue. Afin que Ben remonte la pente physiquement et moralement, il est nécessaire de refaire sa dentition. Mais cet acte n’est pas remboursé. L’association sollicite le Fonds d’Urgence à hauteur de 1 362 € pour financer ses soins dentaires.
|
Sans le coup de pouce du Fonds d’Urgence, cet ancien de la rue n’aurait pas pu équiper son petit logement... |
Annie, mère isolée, commence à perdre pied
L’entrée en 6ème de son fils a engendré des frais auxquels elle ne parvient pas à faire face, et depuis deux mois, elle ne paie plus son loyer : son maigre salaire d’aide à domicile à temps partiel n’y suffit plus. Le nœud du problème étant le faible salaire d’Annie, les bénévoles de l’association la soutiennent pour trouver un autre emploi afin d’augmenter ses revenus. Ils nous demandent de débloquer en urgence une aide de 1 200 € pour lui éviter l’expulsion.
Aidez-nous à réunir les 100 000 € nécessaires pour reconstituer la réserve du Fonds d’Urgence et secourir des franciliens en détresse !
Ayant reçu la visite de la directrice de l’Hôpital du Sacré-Cœur au Liban, Sœur Laurice Obeid, la Fondation Notre Dame a été sensible au sort des personnes démunies qu’il accueille. Elle propose de consacrer une part du Fonds d’Urgence pour les aider.
Sœur Laurice Obeid, Fille de la Charité, directrice de l’hôpital du Sacré-Coeur à Hazmieh au sud de Beyrouth, de passage à Paris, rencontre la Fondation Notre Dame. Ici avec le délégué général (à droite) et le prêtre Lazariste, Directeur Provincial des Filles de la Charité au Proche-Orient.
Appartenant à la congrégation des Filles de la Charité de Saint-Vincent de Paul, l’hôpital du Sacré-Cœur est le premier hôpital créé au Liban, en 1847. Ses équipes médicales soignent tous les patients, quelles que soient leurs origines et leur religion. Son service des Urgences est l’un des plus importants du pays car il se trouve au carrefour de routes très fréquentées allant vers la Bekaa et la Syrie.
Brûlé au 2ème degré, Hedi a été admis aux Urgences
Ébouillanté aux deux pieds, Hedi, sans argent, a tenté de se soigner seul. Les plaies s’étant infectées, l’hôpital du Sacré-Cœur lui a administré des soins en urgence, en faisant l’avance des frais. Il reste à régler 4 204 €.
Faute d’assurance, Amena a été refusée par les hôpitaux
Âgée de 84 ans, Amena a perdu son mari et deux de ses fils lors de la guerre en Syrie. Elle souffre de détresse respiratoire après tant de souffrances vécues. Contrairement aux autres hôpitaux, les Filles de la Charité acceptent de la recevoir. Celles-ci demandent au Fonds d’Urgence de prendre en charge les frais d’hospitalisation restant à couvrir, soit 4 136 €.
Farah souffre d’une grave maladie auto-immune
Depuis l’âge de 16 ans, Farah, aujourd’hui âgée de 43 ans, est atteinte de polyarthrite rhumatoïde. Lors des crises, qui sont fréquentes, elle souffre de douleurs atroces qui la paralysent et nécessitent des hospitalisations. Les traitements sont une charge très lourde pour cette femme seule et invalide. Les Filles de la Charité lui proposent de l’accueillir à l’hôpital du Sacré-Cœur, et de faire appel au Fonds d’Urgence. Un soutien de 6 600 € permettra d’aider Farah à se soigner.
Pour assurer une aide d’urgence aux patients du Sacré-Cœur, nous avons promis 35 000 €.
Merci de votre solidarité avec le Liban !