Agissons pour leur redonner espoir

La Fondation Notre Dame soutient des petites structures qui agissent sur le terrain et donnent priorité à l’humain, l’amitié et le partage. Elle les connaît toutes et les rencontre régulièrement.

Poser son sac et sortir de l’ombre…

Pouvoir déposer ses sacs : un vrai soulagement physique et moral.

Quand on vit à la rue, on transporte avec soi, tout ce que l’on possède. Précieux, ces bagages – que l’on craint toujours de se faire voler – sont aussi un véritable fardeau qui stigmatise. Pouvoir poser ses sacs, cela change tout. On peut enfin entreprendre des démarches. De plus, à la Bagagerie d’Antigel on peut boire un café chaud, se changer, discuter.

Loyer et charges du local :
30 000 €

Bagagerie d'Antigel
Domiciliation

Posséder une adresse postale pour exister aux yeux de la société.

Sans domicile fixe, sans adresse… on n’existe pas. Impossible de faire valoir ses droits au chômage, à la retraite ou à une aide sociale. Impossible de trouver un travail.
Obtenir une domiciliation est donc vital.

Réaménagement d’un bureau de domiciliation dans le 10e :
10 000 €

Charges annuelles d’un local dans le 18e : 30 000 €

Avoir un toit qui vous protège…

Accueillir des sans-abri à la paroisse Saint-Martin des Champs (10e) pour l’opération Hiver Solidaire 2020.

Pour que cela soit possible, il faut installer un bloc sanitaire comprenant douches, toilettes et buanderie pour les sans-abri.

Coût des travaux : 30 000 €

Hiver solidaire

Aider les victimes d’esclavage domestique à s’enfuir.

Ces femmes exploitées et souvent victimes de maltraitances, sont mises à l’abri de leurs oppresseurs dans un petit 4 pièces de moins de 50 m² comptant 6 lits.
Elles y restent en moyenne 3 mois et reçoivent chacune 230 € par mois pour vivre.

Total des charges de l’appartement et aides versées sur un an : 30 000 €

Être accueilli à une table…

Servir plus de 3 600 repas chauds aux plus nécessiteux dans le quartier des Batignolles.

Sans-abri, chômeurs en fin de droit, petits retraités… sont reçus ici.
Une partie des denrées provient de la banque alimentaire et de dons des commerçants ou habitants du quartier.
L’association doit toutefois acheter tous les produits frais.

Légumes et fruits frais pour l’année : 3 500 €

Repas solidaires
lave-vaisselle

Réapprendre à vivre au quotidien quand on est victime de la traite.

Les jeunes femmes, qui fuient les réseaux de prostitution, trouvent refuge dans un foyer du 19e. Ici, elles se reconstruisent peu à peu, réapprennent à cuisiner et à se nourrir correctement.
Dans la cuisine collective, le vieux lave-vaisselle est tombé en panne.

Achat d’un lave-vaisselle de collectivité : 2 400 €

Vivre et partager des repas en communauté, comme en famille.

Valgiros est un centre d’hébergement de stabilisation où vivent en colocation 21 personnes issues de la rue et 10 bénévoles qui ont une activité professionnelle. Plusieurs fois par semaine, les 31 résidents se réunissent dans la grande salle commune pour partager un repas.

Rénovation de la tisanerie :
10 000 €

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Photos : FND © DR, FND-LE, Aux Captifs, La Libération ; Fotolia © Photographee.eu ; Pixabay © Dana Tentis